Srizzt : Quand la vie devient destin

Srizzt : Quand la vie devient destin



Mille longues années se sont écoulées depuis la fin de la guerre sur les Terres Argentés, le bien et le mal se sont neutraliser avec la mort de Herbert et de GoodQ, et la puissante armées des Seigneurs Dragons vit sa mission prendre fin ; en effet, ni le bien, ni le mal n’avaient réussi a prendre le pas sur l’autre, les Seigneurs Dragons, avaient donc réussis ce à quoi les Dieux les avaient destinés. Ceux qui avaient étaient au secours des Terres d’Argent finirent leurs vies dans l’ombres et à l’écart de toute nouvelles guerres, à l’image de leurs chef HollowSeb qui, mi démon, mi humain du finir sa vie seul à l’écart des villes.


L’enfant aux yeux bleu
« Je suis né en enfer, mais mon cœur souhaita trouver l’amour, chance ou destin ? Cette réponse, je la cherche encore. » Srizzt


Bien loin des Terres d’Argent, dans le Royaume d’Ombre-Terres, où vivent Gnomes, Gobelins, Elfes noirs – Drows - et autres races vivant dans les entrailles de la Terre, Vicha, la mère Matrone de la 13eme maison de la cité de Menzoberranzan (une cité elfique) mit au monde sont premier fils, quelle nommas Srizzt, Srizzt Dar Zedan.
L’enfant ne se différenciais pas des autres Drows mis à part ses yeux qui, à défaut d’être rouge, était d’un bleu turquoise à l’instar des Elfes blanc de la surface.

Les premières années de Srizzt fût la tache de sa sœur, la grande prêtresse Balichas qui avait hâte de gravir les échelons sociale et surtout de satisfaire à la Reine Araignée, la déesse Loth.
La maison Dar Zedan se voyant confier un premier male noble, Vicha décida d’en faire un guerrier, qui plus tard pourras devenir le maître d’armes de la maison, une place dans les 8 premières maisons de Menzoberranzan étant encore bien loin et n’étant point menacé par une autres maison, Vicha souhaitait avant tout faire gravir à sa maison les marches vers le conseille de la cité une par une, toutes les grandes maisons avais un maître d’armes, et depuis la mort de Zaknafein et la destruction de la maison Do’Urden, la place de « meilleur maître d’armes de Menzoberranzan » était libre, pour Vicha, cette place serrais celle de Srizzt.

Les 15 premières années de Srizzt fut donc consacrés à l’apprentissage de la vie des Elfes noirs, langages Elfique, langages des gobelins et des gnomes, respect des femelles, et découverte de l’infériorité des males dans cette société, ainsi que la découverte des dons que lui valais le fait d’être un noble, ainsi Srizzt appris durant de longues heures à léviter dans les aires. Balichas fût dure, sévère et utilisa à multiple reprises son fouet pour bien faire comprendre à Srizzt qui commandais, il vivant dans cette sale jours et nuit, à part Balichas il ne voyer personne, même pas sa mère et quand lui venais l’idée de parler de son père , Balichas lui répondais qu’il n’était rien de plus qu’un male, ceci accompagné d’un coup de fouet.

Le jour de ces 16ans, Srizzt fût invité dans la sale de réunion pour voir sa mère.
- Où m’emmène tu Balichas ?
- Tait toi Srizzt, ton apprentissage est terminé, je t’emmène voir notre mère, elle choisiras la suite de tes prochaines années.
- Ne devrais-je pas choisir la suite moi même ?
A ce moment, un terrible coup de fouet le fit volé dans le couloire, il releva la tête et vis une fois de plus sa sœur en colère.
- Que tais-je dont appris ? n’a tu pas encore compris que chez les Drows ce sont les mère Matrone qui choisissent le destin de leurs enfant ?, tu serras un guerrier, et tu devras être le meilleur si tu ne veut pas mourir.
- Alors tu n’a pas choisi ta voie toi non plus ?
- Comme je te l’ai appris, les femelles sont destiné à devenir prêtresse, ta sœur aînée Saralie deviendras sûrement d’ici 3000 ans la mère matrone de notre maison. Tu est un male et comme tout les males, si tu n’est pas guerrier, tu finiras esclave, estime toi heureux des intentions de Matrone Vicha.
Sans plus dire un mot, Srizzt se releva et suivi sa sœur jusque devant une grande porte, Balichas l’ouvris et Srizzt découvris une sale immense dans laquelle une grande table, où siégé son père – Matreas - et ses deux autres sœurs – Saralie et Faerine -, d’un trône de cristal où reposé Matrone Vicha ainsi qu’une voûte où les reflets de cristal s’entremêlaient avec les reflets des rubis.
- Vien prés de moi Srizzt, ordonna Vicha d’un ton sec.
- Oui mère, s’empressa Srizzt, sachant que sa mère n’hésiterais pas à le tué si il se montrais impolis ou irrespectueux, si les Drows sont si crains, c’est en partie du à leurs volonté de fer et leurs cœurs de pierres.
- Ton apprentissage au sein de notre maison est terminer, cette dernière ayant besoin d’un maître d’armes, tu deviendras celui ci, je t’envoi des ce soir à l’académie pour ta formation de guerrier.
Srizzt ayant bien saisi la conversation qu’il eu dans le couloire avec Balichas savais qu’il n’avais pas son mot a dire, et se contentas de répondre d’un oui froid.
- Tu peut sortir maintenant Srizzt, prépare le peu d’affaires que tu a, ta sœur aîné t’emmèneras avec elle à l’académie, mais avant prend ceci, Vicha lui tendis un amulette, cette amulette est tienne, elle à était faite par ton sang et est le symbole que tu appartient à la maison Dar Zedan, garde le toujours sur toi.
Srizzt, pris l’amulette puis sorti de la sale jetant un regard sans réponses à son père, avant que Faerine eu fermer la porte.
- Alors, s’exprima Matrone Vicha en regardant Balichas, que pense tu de ton frère ?
- C’est un male mère, un jeune male, il est encore têtu et bête.
- Mais n’était-ce pas à toi de régler cela ?
- Oui, bien sur mère, mais il ma l’aire différent, je n’ai jamais vu un male avec le sourire, or lui il ne fait que cela, mes coups de fouet ni fond rien, il souffre, mais se relève souriant ses yeux bleu étoilés.
- Depuis se qui est arrivé aux Do’Urden, nous ne devons pas sous estimé les jeunes males, il n’y a pas longtemps – une vingtaine d’années - j’ai croiser le regarde lavande de ce fameux Drizzt Do’Urden, et malgré la différence de couleur, Srizzt me fait malheureusement pensé à lui.
- Mais n’était-ce pas ce que vous souhaitiez ? un male aussi puissant que le tristement célèbre Drizzt Do’Urden?
- Tu est bien ignorante ma fille, Drizzt Do’Urden est sûrement le plus puissant des Drows, mais il n’est plus sous le contrôle de Loth et est la cause de la destruction de sa propre famille, j’aurais voulu mon fils aussi puissant, mais d’après se que je vois, lui aussi réfléchi bien trop pour un mal, Drizzt est une honte pour les Drows, il fait le bien, alors que notre peuple fait le mal, il vie à la surface avec Humains, Elfes blanc et autres vermines, mon fils serras puissant, mais si il réfléchi de trop à la nature de son cœur, il mourras.

L’Elfe noir au cœur blanc
« Ma vie m’a souvent prouvé que la couleur d’un être ne reflétais pas celle de son âme, mais alors pourquoi tant de personnes si attardent ? » Srizzt


Srizzt et Faerine étaient déjà en route pour l’académie, le chemin bien que court, était pour Srizzt l’occasion d’admiré la ville et d’en savoir plus sur sa famille.
- Alors tu est toi aussi une prêtresse ? bafouilla Srizzt intimidé par sa sœur ?
- Oui, je suis institutrice à l’académie, je forme les jeunes prêtresses, Balichas en fait partie.
- Les membres de ma famille mon tous l’aire important, mais père semble triste.
- Ne te pose pas se genre de questions Srizzt, tu est un Elfe noir, le malheur des autres doit faire ton bonheur.
- Mais c’est mon père, même si je ne lui ai jamais parler mon regard se pose sur lui lorsque je le croise, repris Srizzt avec insistance
- Ton père est un noble, il est le géniteur de notre famille, pour cela il ne peut être un guerrier, n’étant pas un guerrier il est donc un esclave un peut plus important que les autres, il s’occupe à soigner Notre mère.
- Et son plaisir à lui ? , s’entêta Srizzt.
- Les males non pas besoin de plaisir, ils sont la pour épauler les femelles rien de plus, s’agaça Faerine, maintenant tait toi et relève la tête nous allons entrée à l’académie.
Lorsque deux gardes s’écartas pour ouvrir un portail majestueux, Srizzt contempla avec plaisir les magnifique uniforme des gardes, avant de se prendre un coup de poing sur la tête.
- Je t’ai dit de levé la tête frère, écoute moi et obéis moi ou tu en subira les conséquence.
Srizzt s’exécuta et vis la tours de magie de l’académie, un grand bâtiment supplantant les caserne et autre demeures des alentours, plus Srizzt avançais suivant sa sœur, plus l’endroit se faisait fascinant, lui qui a vécu son enfance cloîtré, découvre un monde magnifique bien que dure et impitoyable.
- Bonjour Faerine Dar Zedan, fille de Matrone Vicha de la treizième maison de Menzoberranzan, dit un Elfe équiper comme un roi en croisant les deux compagnons.
- Bonjour noble Berg’inyon Baerne, fils de Matrone Baerne de la première maison de Menzoberranzan et maître d’armes de l’académie, que nous vaut l’honneur de ta rencontre ?
- Je regarde l’arrivé des nouvelles recrues et tente de savoir qui serras le meilleur guerrier.
- Et que pense tu de mon frère, Srizzt Dar Zedan ? dit Faerine avec sourire.
- Je n’en pense rien, il a des yeux bleu, dit le fils Baerne sur un ton plus que sec.
- Et pourquoi me jugé sur mes yeux ? s’exclama Srizzt, avant de recevoir un coup point qui le mis à terre.
- Ecoute moi bien Srizzt, puisque tel est ton nom, rare sont les Drows à avoir des trait physique différent, et le dernier que j’ai rencontrait portait un nom quasiment similaire au tien et avais des yeux couleur lavande, Drizzt Do’Urden ma enlevé tout les honneurs que je méritais, j’était le meilleur, après lui, s’énerva le maître d’armes, tu a des yeux bleu et un nom qui m’en ferrais faire des cauchemars, alors tien toi bien si tu compte rester en vie ici. Sur ces mots, le guerrier pris le chemin de la caserne.
- Qui est ce fameux Drizzt Do’Urden dont tout le monde parlent ? dit Srizzt en se relevant.
- Un monstre, c’est là seul chose que tu doit savoir, répondit calmement Faerine.
- Et si je souhaite en savoir plus ? s’entêta Srizzt.
- Alors notre famille perdras les faveur de Loth, et plutôt que de risquer la mésaventure des Do’Urden, nous te tuerons.

Une année c’était écouler depuis l’arrivé de Srizzt à l’académie, il c’était installer dans ses appartements et aller chaque jours en classe pour apprendre la rigueur et la discipline des guerriers, avant d’un jours pouvoir tenir une armes. Et ce jours est arrivé, pour la première fois, tout les élèves du maître d’armes Berg’inyon Baerne se retrouvèrent au centre d’une gigantesque aréne.
- Un peut de calme, dit le maître d’arme voyant ses élèves excités, vous aller pour la première fois utiliser des armes, enfin, me montré se que vous valais au combat et ce que vous avez retenu de mes cours théorique. Je vais donner à chacun de vous une arme en boit que vous aurais choisi, ensuite, je sortirais de l’aréne et vous donnerais les règles.
Le maître d’arme fit le tour de tous les recrues leurs donnant, hache, épée, cimeterre, pieu, bouclier et autres armes de guerres, toutes en boit. Srizzt lui, choisi de prendre deux cimeterres, ce qui fit inquiété le maître d’arme bien qu’il ne broncha pas.
Une fois tout ses élèves équipé, Berg’inyon Baerne sorti de l’aréne et monta sur la colline surplombant l’aréne.
- Pourquoi deux armes ? comment te défendras tu ? demanda un élève à Srizzt.
- Je ne suis pas le seul à avoir fait ce choix, et comme nous l’a explique le professeur, chacun combat à sa manière. J’ai pris deux armes car elles me permettrons d’attaquer à tout moment, contrairement à un bouclier avec lequel je peut seulement paré, les cimeterres étant plus léger qu’une épée je devrais pouvoir m’en servir assez rapidement pour attaquer des deux mains sans être pénaliser.
- Alors faisons alliance pour l’épreuve, je manie une hache et un bouclier, nos style de combats serons différent et l’adversaire n’en auras que plus de mal.
- D’accord, à ce que je vois beaucoup d’élève fond équipe, et après tout je ne connais encore personne. Je me nomme Srizzt Dar Zedan, très heureux de faire équipe avec toi.
- Je suis Jarsix Forean, je suis ravi de faire équipe avec toi, détournant son regard vers la colline ou le maître d’arme venais d’apparaître.
A ce moment, tout les élèves levèrent le nez vers la colline et tendirent les oreilles.
- Voici l’heure du combat, les règles sont simple, éliminé tous ses adversaires, vos armes sont enchanté lorsqu’ elles toucherons vos corps vous serais entouré d’un voile magique, à vous de vous allongé en signe de défaite. IL n’y à qu’un seul vainqueur et se seras le dernier debout. Allez, maintenant battez vous.
A ces mots tous les élèves se dispersèrent dans l’arène et les combats pris lieu.
Srizzt tombas sur un guerrier maniant une épée à deux main, alors que Jarsix entama un combat contre un elfe équiper d’un pieu. Srizzt n’eu pas de mal à esquivé les coup lent et lourd de son adversaire, sa souplesse lui permettant de passé dans le dos de ce dernier et d’y asséner un coup de cimeterre, comme prévu, l’elfe vaincu s’allongea et se mis à rougeoyer. Rapidement Srizzt se retourna pour constater que trois elfes chacun équiper d’épée et de bouclier l’avais encerclais durant la bataille, à n’en pas douté, ceux là faisaient équipe.
- Jarsix, vient par ici j’ai besoin d’aide, s’écria Srizzt voyant Jarsix mettre fin à son premier combat.
- J’arrive de suite Srizzt, dit Jarsix qui s’écarta légèrement des combats pour regarder Srizzt et ses trois adversaires.
Le combat s’engagea avec rage, les deux cimeterres de Srizzt prenaient alors toute une autres dimensions, Srizzt pouvais parer les coups et contre-attaquer de suite. Bien qu’à trois contre un les attaquants ne trouvèrent aucune faille dans la défense de Srizzt qui guettait l’opportunité d’en éliminer un. Jarsix suivais le combat stupéfait, Srizzt était incroyable, avec un allier pareil il se retrouveras seul avec lui avant d’en finir pour le « cours », malheureusement, et il le savais, il n’aurais aucune chance de gagner en combat singulier.
Srizzt paras une attaque osé sur le flanc gauche et en profita pour plongé son cimeterre sous le bouclier de son adversaire qui devin rouge ; voulant en profité l’un des deux autres guerriers attaquas par la droite mais fût parer par le cimeterre gauche, maintenant libre de Srizzt qui ne se fit pas prié pour se servir du tranchant de son cimeterre droit, qu’il envoya dans le bas ventre de cet attaquant. Le dernier combattant compris qu’il n’avais aucune chance contre un guerrier aussi redoutable et voulu fuir, mais en se retournant il se pris un coup de hache de la part de Jarsix qui l’assomma sur le coup.
- Bien jouer Jarsix, s’écria Srizzt heureux d’avoir battu trois adversaires.
- Tu m’avais mâcher le travaille Srizzt, maintenant allons gagner cet épreuve.
Les deux compagnons regardèrent autour d’eux pour jugé des forces restante à combattre : deux épéistes, un combattant avec deux haches, un Drows portant une double lame et un dernier ayant une épée à deux mains.
- Plus que cinq et la victoire et à nous, dit Jarsix d’un air réfléchis
- Oui plus que cinq, mais les plus terribles, s’inquiétas Srizzt
- Ne tant fait pas nous somme les derniers à être encore en équipe.
- Tu a raison, je m’occupe de celui qui a deux hache, prend celui qui a l’épée à deux mains, les autres sont déjà en plein combat, dit Srizzt déjà en route vers sont adversaire.
- J’espère que tu est le meilleur Srizzt car les seuls que je peut battre sont les deux épéistes, je devrais me débarrasser de toi avant, marmonna Jarsix avant de rejoindre lentement Srizzt.
Le combat entre Srizzt et l’elfe à deux haches était déjà bien engagé lorsque ce dernier tombas au sol d’un coup par derrière. Le combattant à la double lame venais d’éliminé facilement un de ses adversaires.
- Nous étions en plein combat, s’exclama Srizzt agacé.
- Et alors, le but est d’être le dernier debout.
- Mais nous combattions loyalement pourquoi ne tant ai pas tu pris à Jarsix qui venais te combattre ?
- Simplement car il est plus facile de battre un adversaire par derrière que par devant, ceci ton camarade semble l’avoir compris, dit t’il en souriant.
A ces mots, Srizzt se retourna et vis une hache s’abattre sur lui, dans un réflexe de surprise, Srizzt réussi à esquivé le coup et bondi sur le coté hors de porté des armes de ses maintenant deux adversaire.
- Jarsix, s’étonna Srizzt, pourquoi m’attaque tu nous somme alliés.
- Plus maintenant, je t’ai regarder, et je n’ai aucune chance de te battre, il me faut me débarrasser de toi.
- Même si tu ne me bat pas tu serrais second, nous avions un pacte.
- Tu est bien stupide pour penser que les Drows respectent des pactes, tu m’a servi au début de l’épreuve, maintenant je n’ai plus besoin de toi, il me faut tenté de prendre la victoire seul.
- Alors en garde, Jarsix, s ‘énerva Srizzt, presser d’en découdre.

Pendant ce temps, du haut de sa colline, Berg’inyon, qui avait tout suivi de l’épreuve s’énerva.
- Satané Srizzt, il se bats comme le Do’Urden et réfléchi comme un elfe blanc, il est fait du même moule, il doit mourir, Menzoberranzan a fait une erreur avec Drizzt, elle n’en ferras pas une seconde avec ce Srizzt.
Berg’inyon descendis la colline à vive allure pour entrée dans l’aréne.


Srizzt était pris entre deux choix, combattre Jarsix qui l’avais trahi mais risquer de se faire avoir par le combattant à la double lame, ou combattre se dernier sachant que Jarsix n’était pas une menace mais risquer de le gêné dans le combat. Ce choix, il n’eu pas à le faire puisque lorsque les deux combattants se sont rapprochés pour combattre Srizzt, le guerrier à la double lame profitas de la concentration de Jarsix pour lui donner un coup dans le dos, à la plus grande surprise de Srizzt.
- Merci beaucoup, souris Srizzt, maintenant je n’ai plus qu’un adversaire à battre, et toi Jarsix tu à perdu de la façon que tu le mérite.
- Idiot, tu n’a aucune chance de victoire contre Srizzt, à deux nous l’aurons peut-être battu, bafouilla Jarsix de colère.
- C’est le « peut-être » qui me gêne, nous somme sur la fin de l’épreuve, et il est clair que Srizzt est plus fort que moi, alors je joue placé, nous étions quatre avec toi, nous voici plus que trois puisque l’un des épéistes vient d’en découdre avec ses deux adversaires, ce félicita le guerrier, il me suffi de faire duré le combat contre Srizzt pour que l’épéiste entre dans notre combat, je peut donc encore visé la victoire.
Srizzt se retourna pour constater que le guerrier avais raison, l’épéiste se précipite vers eux, levant ses cimeterre, il engagea le combat avec le guerrier à la double lame. Srizzt est l’attaquant et prend les initiative, les cimeterres fondent sur leurs adversaires en essayant de trouver la faille, mais l’adversaire n’est pas un novice, il manie sa double lame aussi bien que Srizzt manie ses cimeterres. Le combat duras assez longtemps pour voir l’arrivé de l’épéiste qui n’avais plus qu’a choisir un camp ; mais avant même qu’il eux choisi son camp, Srizzt lui lança un cimeterre dans le torse, l’épéiste tomba au sol accompagnant le cimeterre en boit et constatas sa défaite.
- Tu est perdu, ricana le guerrier à la double lame, avec plus qu’un seul cimeterre, tu ne peut plus me battre.
- Alors attaque moi, lança Srizzt, tu le souhaité comme allié et il est au sol, maintenant c’est toi contre moi.
- Il a rempli sa mission bien mieux que prévu, je pensé te battre avec son aide et ensuite devoir me mesuré à lui, or en jetant ton cimeterre pour l’éliminé, tu tes toi même désarmé et en plus, je n’aurais pas à le combattre.
Le combat repris mais cette fois ci, c’est Srizzt qui fût forcé de défendre, il essaya de se rapproché de son cimeterre à chaque coups, mais le combattant d’en face ne le laisserais de toute évidence pas faire; c’est alors qu’il lança sont point gauche en avant, surpris, son adversaire paras facilement le coup avec son arme mais vis l’autre main armé du cimeterre fondre sur sa tempe.
- J’ai gagné s’écria Srizzt, regardant son adversaire au sol entouré d’une lueur rouge.
- Non, je t’ai touché la main, tu aurais du rougeoyer toi aussi, contesta le combattant au sol.
- Non, gronda Berg’inyon arrivé sur le lieu du combat, sa main est protéger par un gant de cuire, donc ton arme n’a pas touché sa peau.
- Mais avec de vrai armes, il aurais une main en moins, dit le combattant en se relavant.
- Bien sur, mais toi tu serrais mort, Srizzt à gagner le combat en sacrifiant sa main, il remporte donc l’épreuve, termina Berg’inyon avant de se retourné vers Srizzt. Quand à toi, je te félicite, il faut du courage pour tenté se que tu à fait.
- Merci, mais ma main ne me servirais pas mort, se félicita Srizzt.
- Effectivement, quoi qu’il en soit, regagne tes appartements comme le reste des élèves, la journée est terminé.
- Bien, j’y vais de suite, répondis fièrement Srizzt, heureux du travail accompli.

Une fois allongé sur son lit Srizzt repensa à ses combats dans l’arène et au félicitation de son maître d’armes, pour la première fois depuis sa naissance, Srizzt avais éprouvé du plaisir, bien sur c’était en combattant, mais il avais aimé battre ses adversaires un par un.
Cette journée avait était pour lui une source d’apprentissage immense, il savait maintenant qu’il voulais vraiment et de son propre choix devenir un puissant guerrier, il avais aussi appris que ses semblables n’avaient que faire de l’honneur et de la loyauté, ce qui importe était d’arriver à ses fin quelque soit les moyens, se que Srizzt n’arrivais pas à comprendre. Il lui fallais en savoir plus sur lui et sa race.
Pendant ce temps, Berg’inyon Baerne c’était rendu dans les appartements de Faerine.
- Que fait un guerrier ici ? et que me veut tu ?, je sent en toi de la peur, dit calmement Faerine.
- Ton frère, marmonna Berg’inyon.
- Je sais, il te fait penser à Drizzt, mais à par leurs nom, il n’ont rien de semblable.
- Tu ne l’a pas vu, s’énerva Berg’inyon, il combat comme lui, il pense comme lui, il deviendras comme lui. Il a écraser tous ses adversaires un à un aujourd’hui, alors qu’il ne c’était jamais servi d’une arme, il à une faculté de combat supérieur à la normale, de plus il à choisi de se battre avec deux cimeterres, comme Drizzt.
- Et est-ce le seul à avoir fait ce choix ? demanda Faerine.
- NON, repris Berg’inyon de vive voie, bien sur que non, mais il est différent, il à gagner en sacrifiant l’une de ses mains, un elfe noir ne ferrais jamais cela, préférant mourir que vivre éclopé.
- Calme toi, tes armes son en boit, il ne risqué rien.
- Tu ne comprend pas, dans ces combats, peut importe les armes, durant la bataille, tous se battaient comme si leurs vis était en jeu, y compris ton frère ; de plus, repris Berg’inyon en respirant, il a fait mention d’honneur et de loyauté, ce que seul les Elfes blanc prennent en considération, ton frère devient comme Drizzt, il faut le tué.
- Si se que tu dit est vrai, alors ma famille doit s’en séparer avant de perdre les faveurs de Loth. Je vais aller parler à Srizzt, et si tu a raison je l’amènerais à ma mère dés ce soir, ne t’inquiète pas.
- Fait vite, cet elfe n’est noir que de couleur.
Srizzt c’était assoupi quand la porte de ses appartements s’ouvris brusquement le faisant sursauter.
- Qui va là ?
- Ce n’est que moi, ta sœur Faerine.
- Excuse moi, j’ai passé une dure journée.
- J’ai appris cela, et je suis fier de savoir que tu a était le meilleur.
- Tu aurais du voir sa Faerine, commença fièrement Srizzt, aucun ne m’a résister, j’ai même remporté un combat contre trois adversaires en même temps.
- Tu à réussi cela des ton premier combat ? les trois son tombés sous tes coups ?, fût surpris Faerine.
- Oui, enfin, deux sont tombé sous mes coups, alors que j’allais en finir avec le dernier, celui que je prenais pour un amis à battu le dernier.
- Un amis ?
- Oui, Jarsix, s’énerva Srizzt, il m’a trahi alors que l’on avais fait une alliance, il a tenté de me battre en traître, un lâche.
- Nous somme des Elfes noirs, des Drows, mon frère, sache que nous ne connaissons pas l’amitié, c’est un sentiment de faiblesse qui aurais pu te coûté très chère, l’important est la victoire, tu a bien fait de faire une alliance, mais c’était à toi de le trahir.
- Mais, je souhaiter me faire un amis …
- Tait toi, coupa Faerine, les Drows n’on pas d’amis et il n’en on pas besoin, tu est un guerrier, tu seras un tueur, les sentiments non pas leurs place dans le cœur d’un guerrier.
- Mais, Faerine, j’aime me battre, mais tué n’est pas mon but, j’aime prouvé être fort, mais ôté la vie serrais au dessus de moi.
- Alors tu va mourir, Srizzt, Berg’inyon Baerne avais malheureusement raison, tu suis la même vois que le Do’Urden, finissant sa phrase, Faerine saisi son fouet et le lança vers Srizzt qui s’écroula sous les coups.

L’abandon
« Perdre sa famille est ce qu’il peut vous arrivez de plus horrible, l’avantage d’être un Drow, est que vous n’avez pas de famille. » Srizzt


A son réveil, Srizzt était enchaîner à genoux devant sa mère, son père à coté d’elle et ses trois sœurs derrière lui.
- Mon fils, parla calmement Vicha, ton cœur n’est pas le n’autre et t’avoir parmi nous représente un risque trop important.
- Mais qu’ai-je fait mère ?, j’ai gagné mes combats et je me destine à être un puissant guerrier comme vous le souhaitez, ce défendis Srizzt.
- Tait toi, je ne t’ai pas autoriser a me répondre, Loth, la déesse araignée nous a accordé ses faveurs et depuis notre maison ne cesse de se développé, je suis de nouveau en sainte et ne peut me permettre de perdre les faveurs de Loth. Je n’ai rien à reproché à tes talents de guerrier, malheureusement pour toi, ton cœur n’a rien de bon, tu cherche des amis là où il n’en auras jamais, tu pense que tué est mal alors que cela est vitale…
- Non, coupa Srizzt, je ne suis pas et ne serais jamais comme ça, je …, un coup de fouet venu de Balichas le fit taire, avant qu’il ne relève la tête vers sa mère.
- Depuis ta naissance, repris Vicha, tu n’a cessé d’être comparer à Drizzt Do’Urden, ton nom était là pour cela, tu devais faire peur, au lieu de cela, tu devient comme lui, et cela sachant comment à péris la maison Do’Urden, je ne peut le permettre, tu doit mourir mon fils, pour le bien de ma maison.
- Et le bien de ton fils, t’en moque tu ?, protesta Srizzt, les larmes aux yeux.
- Oui, répondis calmement Vicha, j’en referais un, ton père est là pour cela ; malheureusement pour moi, ou heureusement pour toi, étant mon premier fils, te tué risquerais de choquer Loth, tu seras donc renié puis abandonner dans un monde où les races te chasserons, la surface seras ta tombe.
Ces mots prononcé, Balichas frappas de nouveau Srizzt avec son fouet, les coups fut tes qu’il s’allongea sur le sol en hurlant. Une fois Srizzt quasi inconscient et tordu de douleur, les trois sœurs se prirent la main formant un cercle autour de Srizzt, Vicha se leva et commença une incantation.
- Je demande ton aide déesse Loth, reine Araignée, commença Vicha, seul ta puissance peut renier ce fils qui ne peut plus être tien, donne moi la force de détruire les liens de la chaire pour que mon clan puisse à nouveau être serein, Loth je t’en conjure, satisfaite je te rendrais, si ce service tu m’accorde, la maison Dar Zedan souhaite voir partir son fils.
L’incantation terminer, Vicha entailla le poigné de chacune de ses trois filles pour faire couler leurs sang sur le corps inerte de Srizzt, une lueur bleu éclaira la sale lorsque l’amulette de Srizzt se désintégras.
- Emmener moi cette épave du nom de Srizzt à la surface, Srizzt Dar Zedan n’existe plus.

Quelque heures plus tard, Srizzt sentis une chaleur inhabituelle l’envahir, il ouvris les yeux et fut ébloui par une source de lumière qu’il ne connaissais pas. Les mains liés, l’elfe essaya de rejoindre l’ombre qu’il apercevais prêt de l’arbre qu’il distingué, mais ses blessures encore fraîche lui fit perdre espoir.
- Je suis perdu, désespéras t’il les yeux brûler par cette lumière.
- Tout dépend se que signifie « perdu » pour toi Drow, dit une vois résonnante derrière lui.
- Où suis-je et qui êtes vous, lâcha Srizzt en tournant la tête pour voir l’allure de sont interlocuteur.
- Tu est à la surface idiot, et d’après se que je vois, le soleil ne te plais pas, répondis le personnage en Drow mal prononcé.
Srizzt réussis à ouvrire les yeux et vis que son interlocuteur n’était pas seul, plusieurs de ses semblable à en jugé par leurs physiques étaient avec lui ; Srizzt fût surpris de l’apparence de ces personnages, petits mais musclé, de longues barbes et équiper comme pour faire la guerre.
- Vous êtes des gnomes de la surface ? demanda Srizzt
- Ne nous insulte pas Drow, nous sommes des nains, mais vu ton jeune age, une vingtaines d’année tout au plus, je t’excuserais, tu n’est pas ici de ton propre gré, mon instinct me dit de te tué, mais tu est attaché, mon honneur m’en empêche. Je me nomme, Barioras du clan GrondeMarteau, et toi qui est tu ?
- Je me nomme Srizzt, ma famille m’a renier, je n’ai donc plus de clan.
- Tu est Drizzt ? l’elfe noir vivant prés du clan de mon amis Bruenor ? demanda le nain.
- Non, mon nom est Srizzt, ne serais-je donc jamais débarrassé de se Drizzt dont le nom ressemble au mien et qui m’a coûté mon existence.
- Je ne sais pas qui tu est et ne pense pas pouvoir t’aider, mais je pense savoir qui le pourras. Détaché le, ordonna Barioras à ses hommes, nous allons rendre visite à mon amis Bruenor. Quand à toi Srizzt, tien toi bien ou ta vie prendras fin.

Plusieurs semaines se sont écouler depuis sont arrivé à la surface, Srizzt, a appris que ses nouveaux compagnons ne serraient que temporaire mais qu’ils souhaitaient l’aider, de plus, il en profita pour découvrire la surface, s’habituant peut à peut au rayons de se que les nains avais appeler soleil et découvris une faune et une flore bien plus varié qu’en Ombre-Terres. Srizzt suivi les nains jusqu'à l’entrée d’une grotte gigantesque protéger par quatre nains armés.
- Bonjour, je suis Barioras du clan GrondeMarteau, je viens en visite de courtoisie pour m’entretenir avec Bruenor.
- Bien sur, vous pouvez entrez mais surveiller votre Drow, répondit l’un des gardes.
- Ne vous en faite pas j’en prend la responsabilité, dit Barioras avant d’avancé dans la grotte suivi de Srizzt et des autres nains.
Le groupe arrivas dans une grande salle ou plusieurs nains discuter, Srizzt fût attiré par un petit être qui n’était pas un nain il tapas du doigt sur l ‘épaule de Barioras.
- Nains ?
- Non, Srizzt, ricana Barioras, c’est une petite fille, une femelle de la race des Humains.
- Drizzt ??? s’écria la petite fille en s’approchant de Srizzt, que fait tu …, elle s’arrêta lorsqu’elle vis que ce n’était pas la personne qu’elle penser. Qui est tu ?
- Srizzt, dit Srizzt ne comprenant pas le langage des hommes.
- Son nom est Srizzt, répondis Barioras à la petite fille, ce n’est pas le Drizzt que tu connais, mais comme ce dernier, c’est un elfe noir, tu a bien grandis depuis notre dernière rencontre, Catti Brie.
- Bien le bonjour Barioras, cria chaleureusement Bruenor, à peine rentré dans la pièce, que me vaut l’honneur de ta visite ?, il s’interrompis, et s’approcha de Srizzt, ha, je comprend.
- Il s’appel Srizzt, cria Catti Brie.
- Puis-je avoir des explications Barioras ? demanda Bruenor.
- Bien sur, mon amis, j’ai trouver Srizzt, enchaîner et gravement blesser non loin du terrain de chasse de mon clan, et lorsqu’il m’a dit son nom j’ai d’abord compris Drizzt, le nom de ton amis Drows que tu laisse paisiblement vivre dans tes contrés. J’ai donc pensé que ce dernier pourrais en savoir plus.
- Tu a eu raison, mon amis, je te remercie, reste donc passé la nuit ici, je me charge de conduire Srizzt à Drizzt.
- Je veut venir moi aussi, s’empressa Catti Brie.
- Non, ma fille, tu resteras ici, Drizzt et Srizzt aurons bien des choses à ce dirent, lui répondis sèchement Bruenor.
Une bise à sa fille faite et Srizzt accompagner de Bruenor allas rencontrer celui dont il avais tant entendu parler.

Après une demi-heure de marche, Srizzt arriva devant une petite grotte ou sortie brusquement un félin noir.
- Qu’est-ce ? dit Srizzt en gobelin.
- Je te présente Guenhwyvar la panthère noir de Drizzt.
- Bruenor, est-ce toi ? s’écria Drizzt en sortant de la grotte.
En découvrant Drizzt, Srizzt eu un sourire, enfin un visage connu, celui d’un Drow, de plus celui de Drizzt, l’Elfe qui fait couler tant d’encre à Menzoberranzan. Les deux hommes se ressemblais énormément, seul leurs yeux différais, bleu pour l’un, lavande pour l’autre.
- Un Drow ici ?, explique moi vite Bruenor.
- Et bien mon amis, il faut croire que tu n’est plus le seul exiler d’Ombre-Terres, mon amis Barioras l’a retrouver enchaîner, et n’apprenant de lui que son nom : Srizzt.
- Srizzt, hummmm sa ressemble au mien, que sais tu d’autre ?, demanda Drizzt.
- Rien, il ne parle pas humain et comme tu le sais les Nains déteste les Elfes donc ont comprend les mots qu’il dit en gobelin rien de plus. Je suis venu pour que tu t’occupe de lui et découvre se qu’il fait ici, il n’a pas l’aire inquiétant mais un Drow reste un Drow.
- Merci Bruenor, je m’occuperais bien de lui et te tiendrais au courrant, laisse Catti Brie en dehors de tout cela pour le moment, dit lui que je viendrais bientôt la voir. Encore une fois merci mon amis, bon retour chez les tiens.
Srizzt et Drizzt regardèrent partir Bruenor puis se fit faces.
- Je suis Drizzt Do’Urden, exiler à la surface en fuyant ma famille, dit Drizzt en elfique.
- Je sais qui tu est, mon nom m’a obligé à entendre parler de toi, à Menzoberranzan tu est …
- Menzoberranzan ???, le coupa Drizzt, tu vient de là bas ?
- Oui, je suis, enfin, j’était le premier fils de la maison Dar Zedan. Je sais de toi que tu a mener ta famille à sa perte et que tu est l’un des plus puissant guerrier de ce monde, et même le plus puissant d’après mon maître d’arme à l’académie, Berg’inyon Baerne.
- Berg’inyon Baerne, ricana Drizzt, sa fait du bien d’entendre parler du passé, Berg’inyon est devenue le maître d’armes de l’académie alors, quand j’y était ont étaient adversaire, et il ne supporté pas que je suis tout le temps le meilleur et lui seulement le second. Enfin, pour tout te dire, j’ai fui Loth et les Drows plus que ma famille, je ne souhaitais pas vivre en tuant, je voulais vivre avec le sourire et connaître le bonheur. Apres avoir refuser de tué un elfe blanc, j’ai attiré les foudre de Loth sur ma maison, ma famille a donc tenté de me tué, mais sans réussite puisque j’ai réussi à fuir jusqu’ici et me faire des amis. Et toi que fait tu ici ?
- Alors ma mère avais raison, je te ressemble et pas seulement de nom, marmonna Srizzt, apparemment j’ai défendu les mêmes idées que toi, et la chute de ta maison étant encore dans les mémoires, ma famille a préférer me renier plutôt que de me faire poursuivre mon apprentissage et risquer les défaveurs de Loth. Et c’est ainsi que je me suis retrouver à la surface, enchaîner n’attendant que la mort.*
- Et l’amis de Bruenor ta sauvé ? supposa Drizzt.
- Exactement et me voici, ici devant la terreur de Menzoberranzan.
- Hahaha, rigola rapidement Drizzt, et quel age a tu ?, tu à l’aire très jeune.
- J’ai 17ans,mais le temps s ‘écoule différemment à la surface.
- D’après se que je sais tu n’a pas encore passé une année ici, donc 17ans me vas, tu est très jeune et n’a encore rien appris des autres races du monde.
- Non, je ne sais rien de la surface et pas beaucoup plus d’Ombre-Terres, s’indigna Srizzt.
- Alors je vais t’enseigner, t’apprendre à vivre et ensuit t’apprendre à te battre, cela te va ?
- Oui, bien sur, mais je sais déjà me battre, enfin avec des armes en boit, ricana Srizzt.
- Nous verrons cela, mais pour le moment va te reposer sur mon lit, je te préparerais une chambre demain.

Drizzt, mon maître
« Je n’est jamais appeler Drizzt ‘mon père’ et pourtant il est le seul à m’avoir enseigner la vie avec amour, jamais je ne pourrais le remercier assez. » Srizzt


Déjà deux années étaient passé, Drizzt ce plaisais à apprendre à Srizzt les plaisirs de la surface, il lui appris le nom de toutes les espèces animale et fit de même pour les espèces végétale, il appris l’écoulement du temps à la surface à l’aide de soleil, ce qui au fond, n’était pas si différent de Menzoberranzan, où le temps est compter en lueur de Narbonnel.
Srizzt apprenais vite, et il appris le langages humain tout aussi vite, ce qui lui permis de discuter correctement avec les nains et surtout, Catti Brie, la petite fille maintenant âgé de 11ans était une source de joie intarissable. Drizzt mis un point d’honneur à apprendre à Srizzt les dessins de chaque races, les Elfes blanc étant des protecteur de la nature, les Nains des forgerons hors paire, les Humains des individus méfiant au caractère variable, les Orcs des montres sans pitiés et les géants des créatures destructrice, à évité de préférence.
Assez prés de la rivière Srizzt regarder le reflet de l’eau avec toujours autan d’émerveillement, lorsque Catti Brie sortie d’un buisson et lui lança une motte de terre.
- Tien, bonjour Catti Brie, comment va tu se matin ?
- Très bien Srizzt, Bruenor m’a autoriser a venir joué avec toi, alors me voici, tu veut bien aller te promener le long de la rivière avec moi ?
- Bien sur, cela serais avec plaisir, sais tu où est Drizzt ? je l’ai pas vu se matin.
- Oui, je l’ai vu en chemin, il allais voir Bruenor.
- Entendu, alors en route petite fille, nous allons nous promener.
Pendant ce temps, Drizzt c’était rendu chez Bruenor pour une affaire des plus importante.
- Bonjour Drizzt, tu m’a demander d’envoyer jouer Catti Brie avec Srizzt ce matin, pourquoi ?
- Car il fallais que je te parle sérieusement, et que j’aimerais pas que Catti Brie en sache de trop maintenant.
- Comment ça ?, s’interrogea Bruenor, c’est à propos de Srizzt ?
- Oui, j’ai remarquer une marque étrange sur sa poitrine, devrais-je dire, sur son cœur.
- Quel genre de marque ?
- Le genre qui apparais en présence d’une forte source de chaleur, dés qu’il s’approche un peut trop pré du feu, une tête de Dragon apparais.
- Et je suppose que tu a fait tes recherche ?, demanda Bruenor.
- Effectivement, et d’après ce que j’ai appris des vieux parchemins que m’a envoyé Elminster….
- Tu à contacter Elminster, le célèbre mage ?, s’excita Bruenor.
- Oui, j’ai écris à l’assemblé des mages d’Eau Profonde qui on fait suivre le courrier, expliqua Drizzt, et ceci était ci important que Elminster lui même est venu me rencontrais.
- Tu a rencontrer Elminster, rigola Bruenor, tu me surprendras toujours, le plus célèbre des mages qui se déplace pour toi, le non moins célèbre Drizzt Do’Urden.
- Bruenor, s’il te plais, écoute la suite.
- Oui, bien sur, excuse moi mon amis.
- Cette marque serrais celle du Seigneur Dragon.
- La marque des Seigneurs Dragons ? ils existent vraiment alors, s’étonna Bruenor.
- Je n’ai pas dit la marque des Seigneurs Dragons, mais la marque DU Seigneur Dragon, celui qui devras reconstituer et diriger l’armée des Seigneurs Dragons.
- Je comprend, le Seigneur Dragon est parmi nous, tu pense que ses « pouvoirs » sont actif ?
- Je n’en sais rien, je ne me suis jamais battu avec lui, je devais commencez l’entraînement aujourd’hui, mais j’ai décaler à demain, et j’aimerais que tu soit là pour me dire se que tu en pense. Quoi qu’il en soit, si il est ici ce n’est pas pour rien, je me suis renseigner et la région de SarWyen connais des troubles.
- Comme toute les régions Drizzt, il y a encore deux ans, les Orcs avaient une énorme armée avec géants et Worgs, que tu a d’ailleurs éradiquer.
- Je sais Bruenor, mais là, c’est différent, je n’y pourrais rien, des démons majeur on étaient vu, l’enfer sort les griffes sur SarWyen, que le Seigneur Dragon soit là n’est pas une coïncidence d’après moi.
- Et que compte tu faire ?
- L’entraîner intensivement, et lorsque je jugerais son apprentissage terminer, je lui révélerais sa véritable identité et l’enverrais sur les terres de SarWyen.
- Et pour ses soldats ? tu va les recherchés ?
- Non, et même si je le souhaiterais, je ne le pourrais pas, seul le Seigneur Dragon est capable de savoir si la personne en face de lui fait parti des Seigneurs Dragons ou non, en sa présence, leurs puissances se révélerons. Le destin m’a envoyer Srizzt, il l’enverras vers les siens.
- Et tu a encore raison mon amis, souri Bruenor, je serais là demain, et t’aiderais si je le peut.

Dés le lendemain, Drizzt réveilla Srizzt de bonne heure, en sortant de la grotte, Bruenor était déjà là des armes plein les mains.
- Bonjour vous deux, déclara Bruenor souriant.
- Bonjour Bruenor, répondit Srizzt, que nous vaut ta présence ?
- Il apporte les armes pour te battre et nous aideras dans l’entraînement, bonjour a toi Bruenor.
- Avec quoi souhaite tu te battre Srizzt ? demanda Bruenor laissant découvrire de multiple armes.
- J’aimerais bien me battre avec deux cimeterres, comme Drizzt, mais n’en voyant q’un je prendrais une épée longue et un bouclier.
- Drizzt souri, alors tu sais te battre avec deux cimeterre ?
- Oui bien sur, je préfère attaquer, et deux cimeterre son parfait pour cela.
- Bien alors commençons le combat, si tu te débrouille bien je te laisserais utiliser mes cimeterre contre Bruenor.
- Avec plaisir, souris Srizzt, allons y.
Les deux Elfes se mit l’un en face de l’autre, Drizzt, sortant ses deux cimeterres de leurs fourreaux et Srizzt, gardant son bouclier prêt du corps tout en laissant une grande marge de manœuvre à son épée. Bruenor, lui, avais reculer et c’était assis sur un rocher pour admiré le combat.
Le combat fût lancer par Drizzt qui lança plusieurs attaque histoire de jaugé son adversaire, voyant que celui-ci savais se battre, il passa au choses sérieuse. Les deux cimeterres battaient l’air à toute allure, Srizzt parant les coups avec bouclier et épée, mais ne pouvant se procuré d’occasions pour attaquer, de toute évidence, Drizzt, étaient un maître en combats rapproché.
Drizzt, cherchant à provoquer Srizzt, lui laissa une occasion d’attaquer et fût heureux de voir que Srizzt l’ai saisi, l’épée de Srizzt pris l’avantage pour attaquer Drizzt, bien sur ce dernier parais avec les cimeterres, mais toute attaques qu’il tenter étaient irrémédiablement détourné par le bouclier.
Sur son rocher, Bruenor, n’en revenais pas, Drizzt en difficulté, lui qui l’a fût si souvent se battre et avec qu’il il ne souhaiter surtout pas se mesurer, avais du mal à ce départire d’un Drow à peine âgé de 19ans. Ce Srizzt savais se battre, et savoir qu’il était le Seigneur Dragon expliquer tout.
Alors que le combat s’enlisais, Drizzt décida de corsé les choses et reprise le commandement d’une feinte rapide du pied, pour gagner, il fallais faire jouer se que Srizzt n’avais pas, de l’expérience. Drizzt continua à attaquer Srizzt, mais au lieu d’attaquer de front, il se déplacer sans cesse pour forcé Srizzt à parer sur les flancs, se qui forcé Srizzt, non seulement à ce déplacer, mais aussi à perdre ses repères du terrain, et, sans sen apercevoir, Srizzt se retrouva au pied d’une falaise, il perdis une demi-seconde à le remarquer et Drizzt en profita pour le désarmer d’un coup violent de son cimeterre gauche sur la garde de l’épée de Srizzt, lorsque ce dernier se rendis compte de son erreur, le cimeterre droit de Drizzt était déjà sous sa gorge.
- Tu a perdu Srizzt, cria Bruenor, régaler par le combat.
- Oui, avoua Srizzt, Drizzt est plus fort que moi je le reconnais, et je suis là pour apprendre j’ai hâte de recommençais.
- Laisse moi d’abord le temps de me reposer, souri Drizzt, tu est bien plus redoutable que ce a quoi je m’attendais. Tu a fait preuve de talent, et comme promis, tu auras mes deux cimeterres pour ton combat avec Bruenor.
- Hein ?, bafouilla Bruenor, mais je suis pas du niveau moi, je suis un nain, je sais me battre, mais contre un drow de ce niveau je ne fait pas le poids.
- Aller, tu ne va tout de même pas vexé notre amis ? rigola Drizzt.
- Je t’en pris Bruenor, Catti Brie m’a souvent parler de tes exploits, je suis sur que tu est trop modeste, implora Srizzt.
- D’accord, d’accord, mais faite moi pensé à ne plus raconté de bêtises à ma fille.
Bruenor leva sa hache en signe de défi, Drizzt lança ses deux cimeterres à Srizzt qui les rattrapa sans mal et les mis en gardes. A peine élancer que Bruenor, presser d’en finir, lança une attaque à en tuer un Orc, Srizzt esquiva et commença à attaquer des deux mains, Drizzt lui même fût impressionner par le maniement des armes que le jeune elfe effectuer sous ses yeux. Bruenor para tant bien que mal mais ne pouvais résister, Srizzt fit mine d’attaquer en la garde de la hache, Bruenor voulu paraît lorsqu’il vit l’autre cimeterre s’abattre par le haut, d’un réflexe il paras le coup, mais Srizzt qui avais emmener son amis dans cette situation poussa son premier cimeterre un peut plus loin pour le pointer sur le ventre de Bruenor.
- Une feinte dans une feinte, s’écria Drizzt, Bruenor, tu a perdu, dit t’il en souriant.
- Je vois ça mon amis, un peut plus et ma fille était orpheline, rigola t’il. Toute mes félicitation Srizzt.
- Merci Bruenor, mais je n’ai fait que profité de ta méfiance.
- Sacré Srizzt, tonna Drizzt, il est temps d’aller déjeuner, on reprendras l’entraînement ensuite.
Sur ces paroles, les trois amis se mirent en route vers la grotte de Drizzt pour reprendre des forces.

Le départ vers SarWyen
« Laisser les personnes qu’on aime derrière soit est très difficile, mais il l’est moins lorsque l’on sais que leurs amours nous accompagneras. » Srizzt


Deux années c’étaient écoulé et l’entraînement de Srizzt touchais à sa fin, il savais manier mieux que quiconque les armes tranchante et se débrouiller très bien avec un arc.
- Te voici enfin Srizzt ?, se réjouie Drizzt.
- Oui désoler, d’être en retard, tu m’a demander de rassembler mes affaires et de venir ici, où partons nous ? , demanda Srizzt d’un air innocent.
- Tu seras le seul à partir mon amis, se lamenta Bruenor.
- Je ne comprend pas, vous ne voulais plus de moi ici ? s’inquiéta Srizzt.
- Tu sais que ce n’est pas cela Srizzt, mais, tu a une mission à remplir, Seigneur Dragon, répondis Drizzt d’un ton sage.
- Seigneur Dragon ???
- Oui, regarde ton torse, Drizzt approcha une torche et vis de nouveau apparaître la fameuse tête de Dragon, voit tu ?, ceci est la marque du Seigneur Dragon, Elminster lui même me la confier, ceci est ton destin.
- Alors je ne serais jamais libre de vivre comme je le souhaite ?
- Si c’est ce que tu pense alors tes années passé à mes cotés ne ton pas aider, tu a le choix de ta vie, tu n’est pas obliger de suivre ton destin, mais pourras tu vivre sans le suivre ? tu apprend vite, te bat maintenant mieux que moi, ton destin est de rassembler l’armée des Seigneurs Dragons.
- Mais je ne sais même pas ce qu’est un Seigneur Dragon.
- Les Seigneurs Dragons sont une armée avoyer par les Dieux pour maintenir l’équilibre entre les forces du bien et du mal. Lorsque le monde commence à favoriser une force, les Dieux dotent quelque enfants du sang de Dragon. Ces enfants serons destiner à devenir des Seigneurs Dragon.
- Et je suis l’un d’eux ?
- Non, tu est leurs chef, le Seigneur Dragon, ton sang n’est pas un mélange entre le sang de ta race et le sang d’un Dragon, ton sang est du sang de Dragon, rien d’autre, la preuve en ai ta grande résistance au feu et la tête de Dragon qui apparaît dés qu’une source de chaleur t’approche. Ton rôle n’est pas d’être un Seigneur Dragon, mais de les diriger, les commander et les aimer.
- Alors tu m’envoi en exile chercher ces fameux guerriers ?
- Non, je t’envoi en direction de Sarwyen, les guerriers, c’est à toi de les trouver.
- Et comment ferais-je ?
- Ecoute ton corps, si ils écoutent le leurs, il te suivrons, fait confiance en ton destin, il t’a mener à moi, il te mèneras là où tu doit aller.
- Et si tu te perd, n’hésite surtout pas à passer dans le coin, fit constater Bruenor avec sourire.
- Te voici deux cimeterres forgé par Bruenor lui même, et voici un arc composite de ma fabrication, ils te serons utiles en cas de danger.
- Merci, lâcha Srizzt très ému, mais pourquoi ne venez vous pas avec moi ?
- Mon clan est ici et Catti Brie est encore bien jeune Srizzt, les nains son de valeureux combattant soit en sur, mais les choses contre lesquelles tu va te battre me dépassent, j’en suis navré, déclara Bruenor.
- Quand à moi, je suis Drizzt, et je me cherche encore, je ne suis pas ton aîné de plusieurs siècles et il me reste encore beaucoup à apprendre en ce monde, de plus et comme Bruenor, je ne pourrais pas t’aider, et voyager avec toi ne serrais d’aucune aide. Forge toi un nom Srizzt, forge toi une légende, tu deviendras un héros j’en suis sur, et je serais heureux, moi Drizzt Do’Urden, d’avoir connu le Seigneur Dragon qui sauva le monde.
- Et si je n’y arrive pas, larmoya Srizzt.
- Tu y arriva, tes amis serrons là pour t’aider, tu ne seras pas seul dans cette bataille, ils aurons besoin de toi autant que tu auras besoin d’eux. La bataille seras sûrement longue et difficile, mais si tu manie ton arme avec ton cœur, alors la victoire se lèveras à tes yeux.
- Je gagnerais pour vous et reviendrais vite, je vous le promet.
- J’en suis certain, part en paix et revient nous la lame victorieuse, maintenant il est temps pour toi de nous quitter.
Lentement, Srizzt plaça son arc en bandoulière, il rangea soigneusement les cimeterres sans leurs fourreau et pris son sac sur le dos.
- Tu va nous manquer, prend cette fleure, Catti Brie te la cueilli ce matin, revient nous vite et soit fort, dit Bruenor avant de reculer d’un pas.
- Prend soin de toi mon amis, et nul doute que le nom de Srizzt retentira à mes oreilles par delà les continents, expliqua Drizzt légèrement ému.
- Merci mes amis, je ne vous décevrais pas. Adieu.
Srizzt tourna le dos et se mis en marche vers les montagnes du nord, la route vers Sarwyen était longue, mais nul doute qu’il y arriverais, qui sait, peut être ne serrait-il plus seul.